• Jeux dangeureux

    De papier et de feu

    Froissé et sanglant

    Eteint par nos larmes

    Etreint par tes charmes

    Dans un sanglot brulant


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  • Un amour inconditionnel

    bien au delà du sensuel.

    Une pulsation vitale

    Pure, cristal.

    Amitiées inoubliables

    Moments inéfables

    Souvenirs indélébiles

    Mais le temps file

    Mais les amis restent.

    Toujours.


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  • En équilibre sur un balais

    Le rêveur la fait danser,

    La ballerine de papier.

     

    Une simple robe de bal,

    virvoltant dans la salle

    Avec ses couleurs pales.

     

    Main dans la main

    L'amoureux guide

    Ce fantome d'espoir

    dans une douce valse


    Mais la porte s'ouvre

    La réalité rentre

    La danseuse s'effondre

    Toute chiffonnée

    Dans la poussière


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  • Tout espoir y est banni

    Dans la cité de l'oubli

    Seul le chagrin est permi

    Dans cette fatale vie

    Les pleurs y règnent en maîtres

    Les assassins y sont prètres

    Tous les malheurs de la vie

    Ici sont réunis

    Dans la cité de l'oubli

     


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  •  

    Les oiseaux se sont tus
    Les fleurs se sont closes
    Le ciel s'est embrasé
    Les rideaux sont tirés

    Et moi je marche encore et encore
    Je hurle a la mort
    Mais pas assez fort
    Où es tu passée encore ?
    Je cherche en vain tes cheveux d'or.


    Le soleil s'est couché
    La lune règne désormais
    Les lampadaires sont allumés
    Les volets sont fermés

    Et moi je marche encore et encore
    Je hurle a la mort
    Mais pas assez fort
    Où es tu passée encore ?
    Je cherche en vain tes cheveux d'or.


    Les étoiles brillent
    Les enfantes dorment
    Les amants se rejoignent
    Les autres boivent a leur douleur

    Et moi je marche encore et encore
    Je hurle a la mort
    Mais pas assez fort
    Où es tu passée encore ?
    Je cherche en vain tes cheveux d'or.


    Les tallons aiguillent frappent les trottoirs
    Les saouls gerbent dans un coin noir
    Des cris résonnent dans les ruelles sombres
    Des hommes surgissent de l'ombre

    Et moi je marche encore et encore
    Je hurle a la mort
    Mais pas assez fort
    Où es tu passée encore ?
    Je cherche en vain tes cheveux d'or.


    De la fumée s'échappe des boulangeries
    Les bruits de la nuit se sont évanouis
    Le ciel comme les nuages, rosi
    Les ombres fuient

    C'est enfin que je te retrouve
    L'or est devenu rubis
    L'argent scintille, tranchant
    A tes cotés.


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