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Par nanabert le 15 Novembre 2011 à 23:25
Jeux dangeureux
De papier et de feu
Froissé et sanglant
Eteint par nos larmes
Etreint par tes charmes
Dans un sanglot brulant
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Par nanabert le 28 Septembre 2011 à 23:40
Un amour inconditionnel
bien au delà du sensuel.
Une pulsation vitale
Pure, cristal.
Amitiées inoubliables
Moments inéfables
Souvenirs indélébiles
Mais le temps file
Mais les amis restent.
Toujours.
4 commentaires -
Par nanabert le 5 Décembre 2010 à 20:07
En équilibre sur un balais
Le rêveur la fait danser,
La ballerine de papier.
Une simple robe de bal,
virvoltant dans la salle
Avec ses couleurs pales.
Main dans la main
L'amoureux guide
Ce fantome d'espoir
dans une douce valse
Mais la porte s'ouvreLa réalité rentre
La danseuse s'effondre
Toute chiffonnée
Dans la poussière
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Par nanabert le 10 Mars 2010 à 19:45
Tout espoir y est banni
Dans la cité de l'oubli
Seul le chagrin est permi
Dans cette fatale vie
Les pleurs y règnent en maîtres
Les assassins y sont prètres
Tous les malheurs de la vie
Ici sont réunis
Dans la cité de l'oubli
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Par nanabert le 12 Décembre 2009 à 21:08
Les oiseaux se sont tus
Les fleurs se sont closes
Le ciel s'est embrasé
Les rideaux sont tirés
Et moi je marche encore et encore
Je hurle a la mort
Mais pas assez fort
Où es tu passée encore ?
Je cherche en vain tes cheveux d'or.
Le soleil s'est couché
La lune règne désormais
Les lampadaires sont allumés
Les volets sont fermés
Et moi je marche encore et encore
Je hurle a la mort
Mais pas assez fort
Où es tu passée encore ?
Je cherche en vain tes cheveux d'or.
Les étoiles brillent
Les enfantes dorment
Les amants se rejoignent
Les autres boivent a leur douleur
Et moi je marche encore et encore
Je hurle a la mort
Mais pas assez fort
Où es tu passée encore ?
Je cherche en vain tes cheveux d'or.
Les tallons aiguillent frappent les trottoirs
Les saouls gerbent dans un coin noir
Des cris résonnent dans les ruelles sombres
Des hommes surgissent de l'ombre
Et moi je marche encore et encore
Je hurle a la mort
Mais pas assez fort
Où es tu passée encore ?
Je cherche en vain tes cheveux d'or.
De la fumée s'échappe des boulangeries
Les bruits de la nuit se sont évanouis
Le ciel comme les nuages, rosi
Les ombres fuient
C'est enfin que je te retrouve
L'or est devenu rubis
L'argent scintille, tranchant
A tes cotés.
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