-
Les froid avait tout emprisonné, du paysage à mon coeur. L'été nous réveillera ensemble, je l'espère.
Le froid semble figer les secondes
L'empreinte de mes soupirs glaçés
Rejoint dans le brouillard l'onde
Des frissons de la nature givrée.
Volent, volent les blancs flocons !
Même les oiseaux perdent leur repères
Au milieu de tous ces courants d'air,
Le lac, comm' milles étoiles, scintille.
Les vagues figées dans un dernier
Mouvement, une dernière volontée
La nature ainsi blanche est mystique
Au crépuscule fantomatique.
Magie de l'hiver,
qui trop vite s'envole.
-
Commentaires
j'aime, (tes poèmes sont tous bien en ce moment ^^) surtout les oiseaux qui perdent leurs repères au milieu des courants d'air c'est joli comme formulation :) par contre je crois que t'as fait une faute d'orthographe dans le titre parce que t'as marqué " les froid" donc à mon avis soit il manque un "s" à froid soit c'est le froid. et j'aime beaucoup beaucoup ton titre.