• Les froid avait tout emprisonné, du paysage à mon coeur. L'été nous réveillera ensemble, je l'espère.

    Le froid semble figer les secondes

    L'empreinte de mes soupirs glaçés

    Rejoint dans le brouillard l'onde

    Des frissons de la nature givrée.

     

    Volent, volent les blancs flocons !

    Même les oiseaux perdent leur repères

    Au milieu de tous ces courants d'air,

     

    Le lac, comm' milles étoiles, scintille.

    Les vagues figées dans un dernier

    Mouvement, une dernière volontée

     

    La nature ainsi blanche est mystique

    Au crépuscule fantomatique.

    Magie de l'hiver,

    qui trop vite s'envole.

     

     


  • Commentaires

    1
    sandy :)
    Dimanche 5 Décembre 2010 à 20:08
    .
    j'aime, (tes poèmes sont tous bien en ce moment ^^) surtout les oiseaux qui perdent leurs repères au milieu des courants d'air c'est joli comme formulation :) par contre je crois que t'as fait une faute d'orthographe dans le titre parce que t'as marqué " les froid" donc à mon avis soit il manque un "s" à froid soit c'est le froid. et j'aime beaucoup beaucoup ton titre.
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